بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيم
La louange est à Allāh le Seigneur des mondes Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, absolument rien ne ressemble à Allāh et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître Mouḥammad Al-‘Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’Islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier Mouḥammad.
Le Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a dit:
« إنَّ الإسْلاَمَ بَدَأَ غَرِيباً وَسَيَعُودُ غَرِيباً كَمَا بَدأَ فَطُوبَى لِلْغُرَبَاء »
(‘inna l-‘islâma bada’a gharîban wa saya`ôudou gharîban kamâ bada’ faṭôubâ li l-ghourabâ’)
ce qui signifie: « L’Islam est apparu étranger et redeviendra étranger comme il a commencé, alors bonne nouvelle aux étrangers », On lui a demandé : Qui seront les étrangers ô Messager de Allāh ? Il a dit:
« الذِينَ يُصْلِحُونَ مِنْ سُنَّتِي مَا أَفْسَدَ النَّاس »
(‘al-ladhîna youṣliḥôuna min sounnatî mâ ‘afsada n-nâs)
ce qui signifie: « Ceux qui corrigeront ce qui a été corrompu dans la voie – sounnah – que j’ai tracée », [rapporté par Mouslim et Al-Bayhaqiyy].
Or la sounnah du Prophète est la Loi que le Prophète a transmise, c’est à dire la croyance et les jugements de la Loi révélée. Il y a dans ce ḥadīth la bonne nouvelle pour celui qui s’attachera, à notre époque où la corruption s’est répandue dans la communauté, à la sounnah du Prophète c’est-à-dire à sa Loi révélée.
Allāh ta`ālā dit:
﴿ ليْسَ كَمِثْلِهِ شَىءٌ ﴾
(layça kamithlihi chay’)
ce qui signifie: « Rien n’est tel que Lui » ﴾sourat Ach-Chourâ /11﴿, c’est-à-dire que Allāh ta`ālā n’a de ressemblance avec aucune de Ses créatures, d’aucune façon que ce soit. Il n’a donc pas besoin d’un endroit dans lequel se trouver, ni d’une direction dans laquelle Il serait localisé. Il est tel que notre maître `Aliyy, que Allāh l’agrée, a dit: « Allāh existe de toute éternité et l’endroit n’existe pas de toute éternité, et Il est tel qu’Il est de toute éternité – c’est-à-dire sans endroit – » [rapporté par Abou Manṣoūr Al-Baghdādiyy]. Il y a dans le verset cité une preuve pour Ahlou s-sounnah de l’exemption de Allāh de toute ressemblance avec ce dont l’existence a un début. L’exemption de Allāh de toute ressemblance avec ce dont l’existence a un début signifie qu’Il n’a pas de ressemblance avec les créatures. Cet attribut de Allāh fait partie des attributs qui indiquent l’exemption de Allāh de ce qui n’est pas digne de Lui.
La preuve de cet attribut selon la raison est que s’Il avait une quelconque ressemblance avec l’une de Ses créatures, le changement et l’évolution qui sont possibles au sujet des créatures seraient possibles à Son sujet. Si cela était possible à Son sujet, Il aurait besoin de qui Le ferait changer, et celui qui a besoin d’autrui n’a pas la divinité. Il est donc établi que Allāh n’a de ressemblance avec aucune chose.
Quant à la preuve par les textes de l’exemption de Allāh de toute similitude avec les créatures, il y a Sa parole ta`ālā :
﴿ ليْسَ كَمِثْلِهِ شَىءٌ ﴾
(layça kamithlihi chay’)
qui signifie: « Rien n’est tel que Lui ». C’est la preuve du Qour’ân la plus explicite à ce sujet. En effet, nous comprenons de ce verset l’exemption absolue car Allāh tabāraka wa ta`ālā y a cité le terme « chay’ » qui est ici sous forme indéterminée dans un contexte de négation, et si la forme indéterminée est utilisée dans un contexte de négation, cela signifie la généralité dans la langue arabe. Par cette phrase, Allāh tabāraka wa ta`ālā nie à Son sujet la ressemblance avec les corps et les caractéristiques des corps. Tout comme Il n’a pas de ressemblance, tabāraka wa ta`ālā, avec les corps qui ont une âme – les humains, les jinn, les anges et les animaux–, Il n’a pas non plus de ressemblance avec les corps célestes ou terrestres. Allāh tabāraka wa ta`ālā n’a pas restreint la négation de la ressemblance à un genre particulier des créatures. La négation de la ressemblance de Allāh englobe Son exemption de l’endroit et de la direction, du volume et du comment. Le corps est concerné par le volume, la surface et les limites. Allāh ta`ālā n’est pas un être limité, possédant une quantité et une étendue, petites ou grandes.
Il y a un ḥadīth moutawâtir [ḥadīth rapporté par un grand nombre de compagnons, témoins auditifs ou oculaires, à un grand nombre de rapporteurs à chaque génération], qui a été rapporté par quinze ou seize compagnons. Dans ce ḥadīth moutawâtir le prophète `alayhi s-salâm dit:
« حتى يشهدوا أَن لاَّ إِلـه إلاَّ الله وأنِّي رَسُولُ الله »
(ḥattâ yach-hadôu ‘an lâ ‘ilâha ‘il-la l-Lâh wa ‘annî raçôulou l-Lâh)
ce qui signifie: « Jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est de dieu que Allāh et que je suis le Messager de Allāh ».
Ce ḥadīth signifie donc qu’on ne juge quelqu’un musulman que sur sa prononciation des deux témoignages.
Le ḥadīth de al-Jariyah, dans sa version rapportée par Mouslim, comporte le sens que le Prophète se serait contenté de la parole (fi s-samâ’) de cette femme pour la juger musulmane, ce qui contredit le ḥadīth plus fort cité précédemment. Le maître de cette femme l’avait effectivement amenée pour que le Prophète vérifie qu’elle était croyante.
Dans ce ḥadīth, le Prophète aurait demandé à la femme: (‘ayna l-Lâh), elle aurait répondu: (fi s-samâ’) puis il lui aurait demandé (man ‘anâ) « Qui suis-je ? » elle aurait répondu: « Le Messager de Allāh », il aurait alors dit à son maître: ce qui signifie: « Libère-la car elle est croyante ». De plus la version rapportée par Mouslim ne viendrait que d’un seul compagnon.
En effet, le ḥadīth de al-Jariyah donne l’illusion qu’il suffirait que quelqu’un dise: (Allāh fi s-samâ’) pour être jugé croyant alors que ceci est contraire à la vérité.
an-Nawawiyy, ar-Raziyy et d’autres qui ont commenté le livre de Mouslim n’ont pas pris ce ḥadīth selon le sens apparent mais ils ont dit que (‘ayna l-Lâh) vient dans le sens de l’interrogation sur la glorification et l’éminence de Allāh et non pas dans le sens de l’interrogation sur la localisation dans l’espace.
En effet on dit dans la langue arabe (‘ayna foulân –‘ayna Untel– ?) dans le sens de quel degré a-t-il ? Quelle est l’élévation de son mérite ? D’autre part, lorsque l’on dit (fi s-samâ’), cela peut signifier, dans la langue arabe, la supériorité du mérite. C’est de cette manière que les deux savants du ḥadīth, an-Nawawiyy et ar-Râziyy, l’ont interprété: ils ne l’ont pas pris selon le sens apparent comme l’ont fait les assimilationnistes.
Le ḥadīth a effectivement été rapporté par l’Imam Mouslim tel que nous l’avons cité mais il a aussi été rapporté dans les termes: (Qui est ton Seigneur ?) auxquels elle aurait répondu: « Allāh », de même que par les termes: (‘ayna l-Lâh) après lesquels elle aurait pointé le doigt vers le ciel. Il a enfin été rapporté dans les termes:
« أتَشهَدينَ أن لا إلـه إلاّ الله »
(‘atach-hadîna ‘an lâ ‘iLâha ‘il-la l-Lâh)
ce qui signifie: « Témoignes-tu qu’il n’est de dieu que Allāh ? » auxquels elle a répondu: « oui ». Il lui a dit ensuite:
« أتشهدين أنِّي رسولُ الله »
(‘atach-hadîna ‘annî raçôulou l-Lâh)
ce qui signifie: « Témoignes-tu que je suis le Messager de Allāh ? » et elle a répondu: « oui ».
Cette dernière version a été rapportée par l’Imam Mâlik dans son livre al-Mouwaṭṭa’. Or l’Imam Mâlik est plus fort dans la science du ḥadīth que l’Imam Mouslim car sa chaîne de transmission est plus courte ; en effet, il n’y a entre lui et le Prophète que trois ou quatre rapporteurs du ḥadīth.
De plus les versions comportant l’expression (‘ayna l-Lâh) contredisent les fondements de la Loi (al-‘ouṣôul). En effet cela fait partie des fondements de la Loi révélée (charî`ah) de ne pas juger quelqu’un musulman sur sa parole: (Allāh fi s-samâ’). Cette parole est en effet commune aux différents courants des gens du Livre ainsi qu’à d’autres groupes. La seule chose reconnue dans la Loi révélée par Allāh, c’est ce qui a été rapporté dans le ḥadīth moutawâtir que nous avons cité précédemment, c’est-à-dire qu’on ne juge quelqu’un musulman que sur sa prononciation des deux témoignages.
De même dans le verset : (‘a’amintoum man fi s-samâ’), l’expression (man fi s-samâ’) désigne les anges et que le mot (man) – qui signifie dans la langue arabe aussi bien « celui qui » que « ceux qui » – ne désigne pas Allāh. Cette ‘Ayah n’est donc en rien une preuve que Allāh serait dans le ciel.
En effet, si les anges recevaient de la part de Allāh l’ordre de faire ensevelir par la terre ceux qui vouent l’adoration à autre que Allāh, ils le feraient.
De même pour le verset suivant qui concerne des vents puissants. Si Allāh leur ordonnait de le faire, les anges pousseraient les vents sur les non-croyants qui seraient ainsi exterminés. Ces versets sont interprétés conformément à ce qui a été rapporté dans le ḥadīth ṣaḥīḥ :
« إرحمُو من في الأرضِ يَرحَمُكُم من في السَّماء »
(‘irḥamôu man fi l-‘arḍi yarḥamoukoum man fi s-samâ’)
ce qui signifie: « Soyez miséricordieux envers ceux qui sont sur terre, ceux qui sont dans les cieux seront alors miséricordieux avec vous ». Ce ḥadīth a également été rapporté dans les termes suivants:
« إرحمُو أهلَ الأرضِ يَرحَمُكُم أهلُ السَّماء »
(‘irḥamôu ‘ahla l-‘arḍi yarḥamoukoum ‘ahlou s-samâ’)
qui signifient: « Soyez miséricordieux envers les habitants de la terre, les gens du ciel seront alors miséricordieux avec vous ». Cette version explique que ce qui est visé par l’expression (man fi s-samâ’) dans la première version du ḥadīth et dans la ‘āyah: ce sont les anges car ce sont eux les habitants des cieux. En effet, on ne qualifie pas Allāh par l’expression : (‘ahlou s-samâ’) « les gens du ciel ». Cette expression concerne bien les anges car ce sont eux les gens des cieux.
La règle est que tout verset non explicite qui serait pris selon le sens apparent impliquerait des contradictions dans le Qour’ân alors que le Qour’ân en est absolument exempt. Si ces versets étaient interprétés selon le sens apparent, ils contrediraient d’autres versets non explicites dont le sens apparent donne l’illusion que Allāh serait dans la direction de la terre, comme par exemple Sa parole [sôurat Al-Baqarah / 115] :
« وَلِلّهِ الْمَشْرِقُ وَالْمَغْرِبُ ٍفَأَيْنَمَا تُوَلُّواْ فَثَمَّ وَجْهُ اللّهِ »
(wa li l-Lâhi l-machriqou wa l-maghribou fa‘aynamâ touwallôu fathamma wajhou l-Lâh)
Ce qui signifie : “À Allāh appartient les orients et les occidents, où que vous vous orientiez il y a une qiblah (direction) agrée par Allāh [pour la prière surérogatoire d’un voyageur sur une monture]“. Ainsi le mot wajh ici désigne la qiblah agrée par Allāh et ne veut pas dire visage. Ainsi ce verset ne veut pas dire que Allāh serait dans une direction. De même le verset:
« وَقَالَ إِنِّي ذَاهِبٌ إِلَى رَبِّي سَيَهْدِينِ »
(wa qâla ‘innî dhâhiboun ‘ilâ Rabbî sayahdîn)
[sôurat Aṣ-ṣaffât / 99]. Ce verset relate l’histoire du prophète ‘Ibrâhîm qui a dit, lorsqu’il a quitté son peuple qui avait refusé de lui obéir et n’avait pas accepté d’abandonner l’adoration des idoles: (‘innî dhâhiboun ‘ilâ Rabbî), c’est à dire vers l’endroit que Allāh m’a facilité à savoir la Palestine où je pourrais adorer Allāh en paix. Ainsi ce verset ne veut pas dire que Allāh se trouverait en Palestine.
Ainsi pour le verset:
« فَأَيْنَمَا تُوَلُّواْ فَثَمَّ وَجْهُ اللّهِ »
(fa’aynamâ touwallôu fathamma wajhou l-Lâh)
nous disons : (fathamma qiblatou l-Lâh) comme l’a dit l’un des savants du salaf, Moujāhid, l’élève de `Abdoullāh Ibnou `Abbās le cousin du prophète, que Allāh les agrée tous les deux: (wajhou l-Lâh) signifie donc: la qibLâh que Dieu agrée pour votre prière surérogatoire lorsque vous êtes en voyage sur une monture. Quant au verset:
« وَقَالَ إِنِّي ذَاهِبٌ إِلَى رَبِّي »
(wa qâla ‘innî dhâhiboun ‘ilâ Rabbî)
Il signifie: « Je vais là où je peux adorer Allāh sans subir de mal », car le peuple de ‘Ibrâhîm avait essayé de le tuer en le projetant dans le feu ; il en était ressorti sain et sauf mais cela ne les avait pas convaincus et ils avaient refusé de le suivre dans l’Islam.
Pour ne pas aboutir à une contradiction dans le Qour’ân, il n’y a pas d’autre choix que de donner un autre sens que le sens apparent à tous les versets non explicites dont le sens apparent fait croire que Allāh serait localisé dans une direction. Il est obligatoire de ne pas les prendre dans leur sens apparent, ils doivent être interprétés par un sens digne de Allāh.
Voilà ce que les savants de Ahlou s-sounnah ont dit: On interprète sans comment ni forme ni endroit en disant: On interprète conformément à ce qui est digne d’être attribué à Allāh. Ainsi dans le verset:
« الرَّحْمَنُ عَلَى الْعَرْشِ اسْتَوَى »
(Ar-Raḥmânou `ala l-`archi stawâ)
istawâ veut dire dominer, préserver, maintenir en existence comme ont dit les savants sunnites tels que al Bayhaqiyy et d’autres. Il faut exempter Allāh de la localisation et de la quantité.
Al-Boukhâriyy a rapporté que le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit:
« إذا كَانَ أَحَدُكُم في صَلاَتِهِ فَإِنَّهُ يُنَاجِي ربَّه فلا يَبْصُقَنَّ في قِبْلَتِهِ وَلاَ عَنْ يَمِينِهِ فَإِنَّ رَبَّهُ بَيْنَهُ وَبَيْنَ قِبْلَتِهِ »
ce qui signifie: « Lorsque l’un d’entre vous est dans la prière, il est en train d’implorer et d’adorer son Seigneur. Qu’il ne crache pas devant lui ni à sa droite car la miséricorde de son Seigneur est entre lui et la qibah ». Ainsi ce ḥadīth ne veut pas dire que Allāh se trouverait entre celui qui prie et la qiblah. Or ce ḥadīth a une chaîne de transmission plus forte que le ḥadīth de al-Jāriyah. Il signifie que le musulman qui s’adonne à l’adoration de son Seigneur pendant sa prière, qu’il ne crache pas en direction de la qiblah ni à sa droite car la miséricorde de son Seigneur se trouve entre lui et la qiblah.
Al-Boukhâriyy a également rapporté de ‘Abôu Môuçâ Al-‘Ach`ariyy que le Messager de Allāh a dit صلى الله عليه وسلم :
« ارْبَعُوا على أَنفُسِكُمْ فإنَّكُمْ لا تَدْعُونَ أَصَمَّ ولا غَائِباً، إنَّكم تَدْعُونَ سميعاً قَرِيباً، والذي تَدْعُونَهُ أَقْرَبُ إلى أَحَدِكُمْ مِنْ عُنُقِ رَاحِلَةِ أَحَدِكُمْ »
Ce ḥadîth signifie: « épargnez-vous et ne vous efforcez pas d’élever beaucoup la voix dans vos takbîr et vos évocations car rien n’échappe à l’ouïe, à la vue et à la science de Allāh `azza wa jall, Il sait absolument tout de vous ». Il est Celui Qui sait tout de vous, Qui entend tout et Qui exauce ce qu’Il veut à qui Il veut. Il n’est donc pas question ici d’une proximité physique, comme le cou de votre monture serait proche de l’un d’entre vous, mais du fait que Allāh sait tout de vous en tout instant et où que vous soyez. Ainsi ce ḥadîth ne signifie pas que Allāh serait plus proche de la personne par la distance que le cou de sa propre monture.
En résumé: Celui à qui Allāh a accordé la bonne compréhension et qu’Il a guidé vers la vérité aura su que l’Islam est la religion de l’exemption de Allāh de toute ressemblance avec les créatures et que Allāh existe sans comment et sans endroit.
La louange est à Allāh le Créateur du monde. Cette explication est destinée à montrer que les assimilationnistes –les mouchabbihah– n’ont aucune preuve ni dans le Qour’ân ni dans le ḥadīth que Allāh serait dans le ciel ou au-dessus du ciel. En effet, la croyance de tous les musulmans est que Allāh existe sans endroit et sans comment.
Allāh ta`ālā dit:
« قُلْ هَلْ يَسْتَوِي الَّذِينَ يَعْلَمُونَ وَالَّذِينَ لا يَعْلَمُونَ »
(qoul hal yastawi l-ladhîna ya`lamôuna wa l-ladhîna lâ ya`lamôun)
ce qui signifie: « Dis: Sont-ils équivalents ceux qui ont la science et ceux qui ne l’ont pas ? ».
Et le Messager de Allāh صلى الله عليه وسلم a dit:
« طَلَب العِلْمِ فَرِيضَةٌ على كُلِّ مُسْلِمٍ »
(ṭalabou l-`ilmi farîḍatoun `alâ koulli mouslim)
ce qui signifie: « Quérir la science de la religion est une obligation pour tout musulman » [rapporté par Al-Bayhaqiyy].
الحمد لله رب العالمين
La louange est à Allāh, le Créateur du monde.