بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيم
La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, absolument rien ne ressemble à Allāh et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître Mouḥammad Al-‘Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier Mouḥammad.
La religion de l’Islam est venue avec la justice et a accordé à l’homme et à la femme chacun son juste droit. Si les gens œuvraient conformément aux règles de la religion, il y aurait une félicité, un bonheur et l’amour entre les époux durerait.
Certes Allāh a fait que la relation entre époux soit fondée sur l’affection, la tendresse, la sérénité et la miséricorde pour que chacun des deux époux trouvent un réconfort auprès de l’autre. Et pour que les deux époux s’aident dans la vie conjugale pour accomplir ce que Allāh agrée et ce que Son Messager agrée. Allāh `azza wa jall dit:
﴿ وَمِنْ ءايَاتِهِ أَنْ خَلَقَ لَكُم مِّنْ أَنفُسِكُمْ أَزْوَاجًا لِّتَسْكُنُوا إِلَيْهَا وَجَعَلَ بَيْنَكُم مَّوَدَّةً وَرَحْمَةً إِنَّ فِي ذَلِكَ لآيَاتٍ لِّقَوْمٍ يَتَفَكَّرُونَ ﴾
(wa min ‘ayatihi ‘an khalaqa lakoum min ‘anfouçikoum ‘azwajan litaskounou ‘ilayha wa ja`ala baynakoum mawaddatan wa rahmatan ‘inna fi dhalika la ‘ayatin liqawmin yatafakkaroun)
ce qui signifie: « Parmi les signes que Allāh vous a donné, c’est qu’Il vous a crée des épouses [Il a créé pour ‘Adam une épouse à partir de sa côte gauche] pour que vous trouviez du réconfort auprès d’elles et Il a fait qu’il y ait entre vous affection et miséricorde. Il y a certes là des signes pour ceux qui réfléchissent et qui méditent » [sôurat Ar-Rôum / ‘ayah 21].
Il y a des règles de comportements que la religion de l’Islam a incité à avoir avec les époux pour que perdure la bonne vie en commun entre les époux et pour que demeure le foyer de la femme heureux avec des fondations solides et fermes sans être menacé d’effondrement, d’échec et de perdition et ce qui suit cela comme mauvaises conséquences sur les deux époux et les enfants.
Et la vie de couple se maintient et les deux époux seront heureux quand chacun connaîtra ce qu’il lui incombe envers l’autre et que chacun des deux accomplisse ce qu’il lui incombe envers lui.
La religion de l’Islam est venue avec la justice et a accordé à l’homme et à la femme chacun son juste droit. La femme ne subit pas d’injustice. Son honneur demeure sauf, ainsi que sa dignité et sa chasteté. L’Islam a fait que la femme soit pure, préservée d’être un objet de distraction et d’amusement pour les hommes injustes ou que son droit ne soit perdu.
Qu’elle soit épouse, mère ou sœur, l’Islam a accordé à la femme un rôle important au service de la société pour l’éducation des générations futures conformément à la guidée de la Loi et à la guidée du Messager éminent ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam.
La relation du couple entre l’homme et la femme doit être basée sur l’amour et la miséricorde pour que chacun des deux époux trouvent un réconfort auprès de l’autre. L’Islam a rendu obligatoire, par ses principes bien guidés, des droits de la femme sur son époux, tels que si les gens œuvraient conformément à ces principes, il y aurait une félicité et un bonheur et l’amour entre les époux durerait.
Parmi les règles de comportement et d’agissement qu’il est requis de l’époux d’observer avec son épouse : c’est d’avoir un bon comportement et d’agir avec modestie, ainsi il convient que les époux agissent avec modestie avec leurs épouses et qu’ils patientent face à leurs nuisances.
Tout comme Allāh a ordonné d’agir avec bienfaisance avec les parents et d’avoir une bonne compagnie avec eux, ainsi Il a dit soubḥânahou [Qui est exempté d’imperfection]:
﴿وصاحبهما في الدنيا معروفًا﴾
Ce qui signifie: « Aies une bonne compagnie avec eux et agis envers eux avec bienfaisance », Allāh a ordonné d’agir avec bienfaisance avec les épouses, ainsi Il a dit soubḥânahou [Qui est exempté d’imperfection]:
﴿وعاشروهنَّ بالمعروف﴾
Ce qui signifie: « Ayez une bonne vie en commun avec elles » [sôurat An- Niçâ’ / ‘âyah 19].
Allāh ta`ālā a dit pour indiquer l’éminence de leur droit:
﴿وأخذنَ منكم ميثاقًا غليظًا﴾
Ce qui signifie: « Et elles ont pris de vous un pacte éminent », c’est à dire le contrat de mariage par lequel la femme devient licite à l’homme. Et il a été confirmé que lors de son pèlerinage le Messager de Allāh ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a fortement incité d’agir avec bienfaisance avec les femmes, ainsi il a dit:
« فاتقوا الله في النساء فإنكم أخذتموهن بأمانة الله »
Ce qui signifie: « Faites preuves de piété envers Allāh concernant les femmes car certes elles vous sont devenues licite par la loi de Allāh » rapporté par Mouslim, et il a dit aussi:
« استوصوا بالنساء خيرًا »
Ce qui signifie: « Recommandez vous d’agir en bien envers les femmes ».
Et parmi les paroles éminentes rapportées du Messager de Allāh au sujet du bon agissement avec les épouses, il y a sa parole:
« خيركم خيركم للنساء »
ce qui signifie: « parmi les meilleurs d’entre vous, sont ceux qui agissent en bien envers les femmes » et sa parole:
« أكمل المؤمنين إيمانًا أحسنُهُم خُلُقًا، وخيارهم خيارهم لنسائهم »
qui signifie : “les meilleurs croyants sont ceux qui ont un bon comportement et les meilleurs d’entre eux, sont ceux qui agissent le mieux avec leur femme” rapporté par l’Imam AHmad.
Mes frères de foi, certes parmi les qualités du croyant complet ayant les hauts degrés qu’il agisse en bienfaisance envers son épouse, il agit avec elle, avec la douceur, la miséricorde et en ayant le visage souriant. Il fait preuve de bon comportement avec elle et il agit avec modestie, il lui pardonne quand elle a mal agit et il ne rend pas par la pareil, il ne fait pas preuve d’orgueil avec elle et il se comporte avec elle, avec sagesse, douceur et miséricorde. Et le musulman qui a un bon comportement fait partie des gens de grand mérite et il est selon le jugement de Allāh comme le musulman qui fait beaucoup de jeûne surérogatoire et qui se lève de nuit pour accomplir la prière et les adorations. Le Messager de Allāh a dit:
« إنَّ المؤمن ليدرك بحُسْنِ خُلُقه درجة الصائم القائم »
ce qui signifie: « Certes le croyant atteint par son bon comportement le degrés de celui qui jeûne les surérogatoires et qui fait les adorations de nuit ».
Le Messager éminent salla l-Lahou `alayhi wa sallam a dit:
الدُّنيَا مَتَاعٌ ، وَخَيْرُ مَتَاعِ الدُّنيَا المرأَةُ الصَّالِحَةُ
(ad-dounyâ matâ` wa khayrou matâ`i d-dounyâ al-mar’atou S-SâliHah)
ce qui signifie: « Dans le bas-monde, il y a des biens et parmi les meilleurs des biens il y a la femme vertueuse ».
Parmi ces règles de comportements, il y a la bienfaisance de la femme envers son mari, qu’elle s’acquitte de son droit et qu’elle lui obéisse dans ce qu’il fait gagner l’agrément de Allāh et de son Messager. Le prophète éminent a dit:
« أعظمُ الناس حقًّا على المرأة زوجها »
ce qui signifie: « La personne qui a le plus de droit sur la femme, c’est son mari ». Et il a dit:
« أيّما امرأة ماتت وزوجها عنها راضٍ دخلت الجنة »
ce qui signifie: « Le fait que la femme meurt et que son mari est satisfait d’elle ceci est une cause pour qu’elle rentre au Paradis ».
Certes l’épouse intelligente qui agit avec sagesse est celle qui accomplit le droit de son mari. Allāh ta`ālā dit:
﴿ الرجال قوامون على النساء بما فضّل الله بعضهم على بعض وبما أنفقوا من أموالهم ﴾
Allāh ta`ālā nous apprend dans le Qour’ân honoré dans sôurat An-Niçâ’ ‘âyah 34, que les hommes ont un mérite par rapport aux femmes et c’est pour cela que la charge obligatoire incombe à l’époux.
Certes le droit du mari sur sa femme est éminent selon le jugement de Allāh ta`ālā, c’est pour cela que le Messager de Allāh a dit:
« لو كنتُ ءامرًا أحدًا أن يسجد لأحد (أي سجود تحية) لأمرتُ المرأة أن تسجد لزوجها »
ce qui signifie: « si j’avais à ordonner à quelqu’un de se prosterner pour quelqu’un c’est à dire d’une prosternation de salutation, j’aurai ordonné à la femme de se prosterner pour son mari ».
En Islam parmi les droits de l’époux sur son épouse et qu’il est requis de l’épouse de les observer, qu’elle ne le prive pas de son droit de jouir d’elle sauf dans ce qui est interdit comme le rapport pendant les jour de menstrues ou de lochies tout comme cela est connu dans la loi de l’islam. Ainsi il n’est pas permis à l’épouse d’empêcher son époux de jouir d’elle et qu’elle refuse qu’il s’approche d’elle.
Si elle prive son époux de son droit de jouir d’elle sans excuse légale elle commet un grand péché et les anges la maudisse. Ainsi le prophète éminent a dit:
« إذا دعا الرجل امرأته إلى فراشه فأبتْ فبات غضبان عليها لعنتها الملائكة حتى تصبح »
ce qui signifie: « si l’homme appelle sa femme à son lit et qu’elle refuse et qu’il passe la nuit en colère contre elle , les anges la maudissent jusqu’au matin ». Et il a dit aussi:
« إذا دعا الرجل زوجته لحاجته فلتأته وإن كانت على التَّنُور »
ce qui signifie: « si l’homme appelle son épouse pour son besoin qu’elle vienne à lui , même si elle s’affairait au four ».
Certes le droit de l’époux de jouir de son épouse dans les limites de la loi fait partie des plus importants droits de l’époux sur son épouse car le fait que la femme se préoccupe du besoin de son mari, dans son lit est une cause importante pour le bien-être des deux époux. Et le fait qu’elle délaisse ce droit est une cause de tourment et de dispute entre les deux époux.
En Islam il est obligatoire sur l’épouse si l’époux demande d’elle de s’embellir (à la maison) pour jouir de cela, qu’elle lui obéisse en cela.
En Islam parmi les droits de l’époux sur son épouse qu’elle ne fasse rentrer personne dans la maison de son époux sauf par sa permission et qu’elle ne jeûne pas de jeûne surérogatoire c’est-à-dire autre que l’obligatoire sauf par sa permission car le jeûne empêche le fait de jouir d’elle ainsi si elle jeûne un jeûne surérogatoire sans sa permission ceci privera l’époux de l’approcher car à cause du jeûne habituellement elle va s’éloigner de lui et le fait qu’il s’approche d’elle pour jouir d’elle, est son droit c’est pour cela que le Prophète éminent a dit:
« لا يحلُّ لامرأة أن تصوم وزوجها شاهد (أي حاضر) إلا بإذنه »
ce qui signifie: « il n’est pas permis à la femme de jeûner et son époux est présent sauf par sa permission », c’est-à-dire concernant le jeûne qui n’est pas obligatoire.
En Islam parmi les droits qu’à l’époux sur son épouse qu’elle ne sorte pas de la maison ou qu’elle ne voyage pas avec l’un de ses maḥram sauf par la permission de son époux.
Les savants de l’Islam ont dit que le fait que la femme et spécifiquement l’épouse reste dans sa maison et qu’elle ne sorte pas sauf pour une nécessité , est mieux pour elle et ceci est de l’intérêt de la femme , car cela comporte une préservation pou elle. Les savants disent qu’il est requit de la femme un surcroît de discrétion de de préservation. Le Messager éminent a dit:
« أقرب ما تكون المرأة إلى وجه الله (أي إلى طاعة الله) إذا كانت في قعر بيتها »
ce qui signifie: « La femme est plus proche de l’obéissance à Allāh si elle reste chez elle », ici nous rappelons que le mot “wajah” veut dire l’obéissance à Allāh comme nous l’avons mentionné dans le chapitre de la croyance , il n’est pas permis de traduire mot à mot, mais on traduit le sens du ḥadīth ou de la ‘âyah et ici le mot “wajah” au sujet de Dieu ne veut pas dire visage car Dieu n’a aucune ressemblance avec les créatures donc Il n’est pas attribué d’organe, ni de forme, ni de localisation ainsi nous disons: ” je fais cela li wajhi l-Lâh ” c’est-à-dire “je fais cette chose par recherche de l’agrément de Allāh. L’Imam ‘Abôu Ja`far aT-Taḥâwiyy né en 227 de l’Hégire et mort en 321 l’Hégire a dit:
« وَمَنْ وَصَفَ الله بِمَعَنى مِنْ مَعَاني الْبَشَرِ فَقَدْ كَفَرَ »
(wa man waSfa l-Lâha bima`nan min ma`âni l-bachari faqad kafar)
Ce qui signifie: « et celui qui attribut à Dieu, un des sens des créatures certes est devenu non-croyant ». Ainsi attribuer à Dieu les organes ou tout autre ressemblance avec les créatures est de la mécréance, qui fait sortir de l’islam et dans ce cas la personne ne revient à l’islam qu’en prononçant les deux témoignages en délaissant la mécréance. Les deux témoignages sont : il n’est de dieu que Dieu , Mouḥammad est le Messager de Dieu. Et celui qui ne sait pas dire Mouḥammad dit Abou l-Gâçim est le Messager de Dieu.
Et parmi les droits de l’époux sur son épouse que l’épouse priorise le droit de son époux sur le droit de sa famille proche car le droit de son époux sur elle est éminent selon le jugement de Allāh ta`ālā. Ainsi la femme , si sa famille lui ordonne telle chose et que son époux lui ordonne telle chose qui ne comporte pas de péchés , elle obéit à son époux et n’obéit pas à sa famille et ceci est la signification de la parole du Prophète Mouḥammad:
« أحق الناس بالمرأة زوجها »
ce qui signifie: « La personne qui a le plus le droit sur la femme est son époux ».
Et il a été rapporté de notre dame `A’icha que Allāh l’agrée, qu’elle a dit : j’ai dit Ô Messager de Allāh: “Quelle personne à le plus de droit sur l’homme ?”, il a dit: “sa mère“, j’ai dit : “quelle personne a le plus de droit sur la femme ?” il a dit: “Son époux“.
Et parmi les droits qu’à l’époux sur son épouse, qu’elle ne se plaigne pas à cause des difficultés de la vie et de la situation en disant des paroles qui blessent son époux, qui lui brise son cœur et son moral, mais ce qui est requis d’elle, qu’elle montre la satisfaction de ce que Dieu a accordé comme subsistance et qu’elle estime la fatigue de son époux dans l’acquisition de la substance et qu’elle ne lui demande pas de peur qu’il ne tombe dans une acquisition illicite.
Et la femme vertueuse qui cherche l’agrément de son Seigneur et le Paradis, s’éloigne totalement de l’interdit et se satisfait de ce que Dieu a accordé comme subsistance licite et met en garde son époux des voies du Harâm , illicite et que Allāh fasse miséricorde aux femmes des musulmans des trois premiers siècles de l’Hégire, le Salaf vertueux, ainsi, la femme vertueuse de parmi eux quand son mari sort de sa maison pour l’acquisition, elle lui dit: “Prends garde à l’acquisition de l’illicite car certes nous patientons sur la famine et la nuisance et nous ne pouvons pas patienter dans le châtiment de l’enfer“.
Et il est utile de rappeler ici que le fait que l’épouse qui est riche dépense sur son époux et ses enfants pauvres nécessiteux en cherchant par cela la récompense de la part de Allāh `azza wa jall, elle a en cela une récompense éminente selon le jugement de Allāh ta`ālā.
Et parmi les droits qu’à l’époux sur son épouse, qu’elle aie avec lui une bonne vie en commun et ceci est un fondement éminent dans le bonheur des deux époux. Ainsi elle se comporte avec lui en utilisant des bonnes manières et les bonnes paroles et en s’adonnant aux causes qui le réjouissent. Ainsi, elle se parfume pour lui et s’embellit tout comme il aime cela d’elle.
L’épouse intelligente qui cherche l’agrément de son Seigneur, obéit à son époux dans ce qui rapproche de l’agrément de Allāh `azza wa jall et ne lui nuit pas, par ses paroles, ni par ses actes et ne dévoile pas son secret même à sa proche famille, et elle s’occupe de ses enfants et les éduque de la bonne éducation islamique, que Allāh ta`ālā agrée et Son Messager agrée. De même, elle préserve sa langue de tout ce qui nuit à son époux et que Dieu n’agrée pas comme si elle crie face à lui ou qu’elle lui dise par exemple: “toi, tu es faible de compréhension”, et ce qui est du même genre, qui nuit à son époux et qui lui brise le cœur et le moral.
Et parmi les bons rappels aux femmes mariées pour être exhortée afin de bien agir avec leurs époux et pour indiquer l’éminent droit qu’à l’époux sur l’épouse, et qu’un des savants éducateur éminent a conseillée une de ses élèves mariées, comment elle parle à son époux et comment elle agit avec bienfaisance envers lui et il lui dit: “parles lui et et tiens toi devant lui comme si tu étais en présence d’un roi éminent“.
Le Messager éminent a dit:
« لا تُؤذي امرأةٌ زوجَها في الدنيا إلا قالت زوجته من الحور العين لا تؤذيه قَاتَلَكِ الله فإنما هو عندك دخيل يوشك أن يُفَارِقَكِ إلينا »
ce qui signifie: « il n’ y a pas une femme dans ce bas-monde qui nuise à son époux sans que ne disent, sa femme du Paradis ne lui nuis pas que Allāh te châtie, il n’est chez toi que de passage, il va bientôt te quitter pour venir à nous ».
Et parmi les droits qu’à l’époux sur son épouse qu’elle ne renie pas le mérite de son époux et sa bienfaisance envers elle. Ainsi il convient que l’épouse intelligente délaisse le fait de renier le mérite de l’époux et sa bienfaisance envers elle et ceci est une qualité importante qui permet le maintient de la bonne vie de couple et elle n’est observée que par peu d’épouse. Ainsi beaucoup de femmes multiplient le fait de renier le bienfait de l’époux au moindre agissement en mal de sa part et c’est pour cela que les femmes représentent la majeur partie des gens de l’enfer tout comme a informé de cela le Prophète. Ainsi Al-Boukhâriyy, Mouslim, AHmad et d’autres qu’eux ont rapportés plusieurs versions dans le sens général, que Allāh tabâraka wa ta`ālā a fait voir au Prophète Mouḥammad, que les femmes représentaient la majeur partie des gens de l’enfer. Le Messager de Allāh a été interrogé par certaines femmes des compagnons sur la cause de cela et il a répondu:
« لأنكن تكثرن اللعن وتَكْفُرْنَ العشير »
ce qui signifie: « parce que vous maudissez beaucoup et vous reniez les bienfaits de l’époux ». Ainsi de nombreuses femmes maudissent beaucoup, maudissent leurs enfants et leurs époux et renient les bienfaits de l’époux, son mérite et sa bienfaisance envers elles, elles considèrent peu ce qu’ils leurs faisaient comme bienfait et bon agissement et ceci est la réalité observée de la part de beaucoup de femmes envers leurs époux. Et le Messager éminent a expliqué ce sujet, il a dit:
« فلو أحسنتَ إلى إحداهن الدهر ثم رأت منك سوءًا قالت ما رأيت منك خيرًا قَطُّ »
ce qui signifie: « si tu agissais en bien avec l’une d’elle toute une vie et ensuite elle voit de toi un mal agissement, elle dit: ” je n’ai jamais vu de toi de bien” ».
Et il est utile de clôturer notre sujet par la parole du maître des Messagers et l’Imam des pieux, notre maître Mouḥammad, qui comporte l’annonce de la bonne nouvelle à la femme et l’épouse vertueuse qui accomplie le droit de Allāh, qui accomplie le droit qu’à Allāh sur elle, et le droit de son époux. Le Messager de Allāh dit:
« إذا صَلّت المرأة خَمسَها وصامت شهرها وحفظت فرجها وأطاعت زوجها قيل لها ادخلي من أي أبواب الجنة شئت »
ce qui signifie: « si la femme accomplit ses cinq prières et qu’elle jeûne son mois et qu’elle fait preuve de chasteté, et qu’elle obéit à son époux, il lui sera dit : “rentres de n’importe quelle porte du Paradis que tu veux” ».
الحمد لله رب العالمين
La louange est à Allāh, le Créateur du monde.