بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيم
La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, absolument rien ne ressemble à Allāh et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre Maître Mouḥammad Al-‘Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’Islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier Mouḥammad.
La cause principale pour bénéficier des secrets de ces invocations et évocations, c’est d’avoir la croyance du Prophète Mouḥammad, à savoir que ce monde a un unique Créateur Dieu – Allāh -, qu’Il n’a pas de ressemblance avec Ses créatures d’aucune manière que ce soit, et qu’Il a envoyé des prophètes tous porteurs du même message et de la même religion qui est l’Islam, depuis Ādam le premier des humains et des prophètes jusqu’à Mouḥammad, en passant par Moïse et Jésus, que Dieu les honore tous et les élève davantage en degré.
Allāh ta`ālā dit dans le Qour’ân:
﴿ وَعَلَى اللّهِ فَلْيَتَوَكَّلِ الْمُؤْمِنُونَ ﴾
(wa `ala l-Lâhi falyatawakkali l-mou’minôun)
Ce qui signifie: « Que les croyants se fient à Allāh », [sôurat ‘Ali `Imrân / 122] .
Il est un devoir de se fier à Dieu car Il est le Créateur de toute chose, que ce soit des choses profitables ou des nuisances et de tout ce qui entre en existence. Il n’y a donc rien qui fasse parvenir la nuisance et qui fasse parvenir les choses profitables en réalité sinon Allāh.
Placer sa confiance en Dieu c’est à dire d’avoir le cœur confiant en Dieu ; ainsi faire les causes permises (comme le fait de réviser pour un examen ou de chercher un travail licite) ne contredit pas le fait de se fier à Dieu.
Allāh ta`ālā dit dans le Qour’ân:
﴿ وَمَن يَتَّقِ اللَّهَ يَجْعَل لَّهُ مَخْرَجًا ﴿2﴾ وَيَرْزُقْهُ مِنْ حَيْثُ لَا يَحْتَسِبُ وَمَن يَتَوَكَّلْ عَلَى اللَّهِ فَهُوَ حَسْبُهُ ﴾
(wa man yattaqi l-Lâha yaj`al lahou makhrajan, wa yarzouqhou min ḥaythou lâ yaḥtasibou wa man yatawakkal `ala l-Lâhi fahouwa ḥasbouhou)
Ce qui signifie: « Et celui qui fait preuve de piété envers Allāh, Il lui accorde une issue et lui accorde la subsistance d’où il ne s’attend pas ; et celui qui se fie à Allāh Il lui suffit », [sôurat ‘at-Talâq / 2-3].
Ainsi la piété est une grande cause pour la facilité et la réussite ; la piété consiste à accomplir tout ce que Dieu a ordonné comme devoirs et à éviter tout ce que Dieu a interdit comme péchés.
Le matin avant de se rendre pour l’affaire concernée (examen, entretien, etc…) on récite onze fois sôurat ach-Charḥ et sept fois sôurat al-Fâtiḥah avec l’intention de la facilité:
سورة الفاتحة
بِسْمِ اللّهِ الرَّحْمـَنِ الرَّحِيمِ ﴿1﴾ الْحَمْدُ للّهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ ﴿2﴾ الرَّحْمـنِ الرَّحِيمِ ﴿3﴾ مَـلِكِ يَوْمِ الدِّينِ ﴿4﴾ إِيَّاكَ نَعْبُدُ وإِيَّاكَ نَسْتَعِينُ ﴿5﴾ اهدِنَــــا الصِّرَاطَ المُستَقِيمَ ﴿6﴾ صِرَاطَ الَّذِينَ أَنعَمتَ عَلَيهِمْ غَيرِ المَغضُوبِ عَلَيهِمْ وَلاَ الضَّالِّينَ ﴿7﴾
Bismi l-Lâhi r-Raḥmāni r-Raḥîm (1) Al-ḥamdou li l-Lâhi Rabbi l-`âlamîn (2) Ar-Raḥmāni r-Raḥîm (3) Mâliki yawmi d-Dîn (4) ‘iyyâka na`boudou wa ‘iyyâka nasta`în (5) ‘Ihdina ṣ-Ṣirāṭa l-moustaqîm (6) Ṣirâṭa l-ladhîna ‘an`amta `alayhim ghayri l-maghḍôubi `alayhim wa la ḍ-Ḍâllîn (7)
سورة الشرح
بِسْمِ اللّهِ الرَّحْمـَنِ الرَّحِيمِ ﴿1﴾ أَلَمْ نَشْرَحْ لَكَ صَدْرَكَ ﴿2﴾ وَوَضَعْنَا عَنكَ وِزْرَكَ ﴿3﴾ الَّذِي أَنقَضَ ظَهْرَكَ ﴿4﴾ وَرَفَعْنَا لَكَ ذِكْرَكَ ﴿5﴾ فَإِنَّ مَعَ الْعُسْرِ يُسْرًا ﴿6﴾ إِنَّ مَعَ الْعُسْرِ يُسْرًا ﴿7﴾ فَإِذَا فَرَغْتَ فَانصَبْ ﴿8﴾ وَإِلَى رَبِّكَ فَارْغَبْ ﴿9﴾
Bismi l-Lâhi r-Raḥmāni r-Raḥîm (1) Alam nachraḥ laka ṣadrak (2) wa waḍa`nâ `anka wizrak (3) Al-ladhî ‘anqaḍa ḍhahrak (4) Wa rafa`nâ laka dhikrak (5) Fa’inna ma`a l-`ousri yousrâ (6) ‘inna ma`a l-`ousri yousrâ (7) Fa’idhâ faraghta fanṣab (8) Wa ‘ilâ rabbika farghab (9)
Sur le chemin on récite la Fâtiḥah et on fait l’évocation de Dieu en disant:
الله الله ربّي لا أُشركُ به شيئًا
Allāhou Allāhou rabbî lâ ‘ouchrikou bihi chay’â
En entrant dans le lieu on récite le verset 23 de sôurat al-Mâ’idah:
قَالَ رَجُلاَنِ مِنَ الَّذِينَ يَخَافُونَ أَنْعَمَ اللّهُ عَلَيْهِمَا ادْخُلُواْ عَلَيْهِمُ الْبَابَ فَإِذَا دَخَلْتُمُوهُ فَإِنَّكُمْ غَالِبُونَ وَعَلَى اللّهِ فَتَوَكَّلُواْ إِن كُنتُم مُّؤْمِنِينَ ﴿23﴾
Qâla rajoulâni mina l-Ladhîna yakhâfôuna ‘an`ama l-Lâhou `alayhimâ ‘oudkhoulôu `alayhimou l-bâba fa’idhâ dakhaltoumôuhou fa’innakoum ghâlibôun wa `ala l-Lâhi fatawakkalôu ‘in kountoum mou’minîn
Et on récite encore:
الله الله ربّي لا أُشركُ به شيئًا
Allāhou Allāhou rabbî lâ ‘ouchrikou bihi chay’â
Et juste avant de commencer on récite l’invocation:
اللَّهُمَّ لا سَهْلَ إلاّ مَا جَعَلْتَهُ سَهْلا وَإِنَّكَ تَجْعَلُ الحَزْنَ إِذَا شِئْتَ سَهْلا
Allāhoumma lâ sahla ‘illâ mâ ja`altahou sahlâ wa ‘innaka taj`alou l-Hazna ‘idhâ chi’ta sahlâ
ce qui signifie: « Ô Allāh, n’est facile que ce que Tu rends facile et si Tu veux Tu rends ce qui est dure facile ».
Et on dit:
﴿… رَبِّ اشْرَحْ لِي صَدْرِي {25} وَيَسِّرْ لِي أَمْرِي {26} وَاحْلُلْ عُقْدَةً مِّن لِّسَانِي {27} يَفْقَهُوا قَوْلِي {28}﴾
[sôurat Ṭâhâ] (Rabbi chraḥ lî ṣadrî wa yassir lî ‘amrî wa ḥloul `ouqdatan min liçânî yafqahôu qawlî)
Ensuite: Allāhou ‘Akbar (trois fois) et Bismi l-Lâhi r-Raḥmāni r-Raḥîm, tawakkaltou `ala l-Lâh
Tout cela avec une bonne prononciation en sortant les lettres correctement de leurs points de prononciations et avec les prolongations requises et ceci s’acquiert par transmission orale auprès des gens de la connaissance.
Le Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a dit:
« من يرد الله به خيرا يفقهه في الدين إنما العلم بالتعلم والفقه بالتفقه »
Ce qui signifie: « Celui pour qui Allāh veut le bien, Il lui facilite l’apprentissage de la religion, certes la science de la religion est par transmission orale », [rapporté par Al-Boukhâriyy].
Remarque: Pour espérer être exaucé pour une invocation il est recommandé d’avoir le wouḍoū’ la petite ablution, de se diriger vers la qiblah, commencer en faisant la louange à Allāh et invoquer en faveur du Messager (Al Hamdou li l-Lâh , Allāhoumma ṣalli wa sallim `alâ sayyidinâ Mouḥammad) et finir ainsi, de se nourrir d’une nourriture licite.
Le Prophète Mouḥammad ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a dit:
« مَنْ لَزِمَ الاستِغفَارَ رَزَقَهُ اللهُ مِنْ حيثُ لا يَحتَسِبُ وفَرَّجَ كَربَهُ »
« man lazima l-istighfâr razaqahou l-Lâhou min ḥaythou lâ yaḥtasibou wa farraja karbah »
Ce qui signifie: « Celui qui s’attache à faire l’istighfâr (régulièrement), Allāh lui accorde une subsistance d’une voie à partir de laquelle il ne s’attendait pas et Il le délivre de son tourment », [rapporté par Aṭ-Ṭabarâniyy].
Et Il a dit aussi:
« من لزم الاستغفار جعل الله له من كل ضيق مخرجا، و من كل هم فرجا، ورزقه من حيث لا يحتسب ».
Ce qui signifie: « Celui qui s’attache à faire (al-istighfâr), régulièrement, Dieu lui accorde une issue à toute dure situation, et Il le délivre de tout tourment, et Il lui accorde une subsistance d’une voie à partir de laquelle il ne s’attendait pas », [Rapporté par Abôu-Dâwôud].
Il y a un grand bien à faire (al-istighfâr) au moins 300 fois par jour, (c’est encore mieux d’en réciter 300 le matin et 300 le soir).
On dit avec une bonne prononciation:
أَسْتَغْفِرُ الله…. أَسْتَغْفِرُ الله …. أَسْتَغْفِرُ الله ….
Astaghfirou l-Lâh….. astaghfirou l-Lâh… astaghfirou l-Lâh…
Ou bien:
رَبِّ اغْفِرْ لِي…. رَبِّ اغْفِرْ لِي…. رَبِّ اغْفِرْ لِي
Rabbi ghfir lî…. Rabbi ghfir lî…… Rabbi ghfir lî…
Fait sur les bienfaits de al ‘istighfâr: Quelqu’un s’est marié et au bout de onze ans il n’a pas eu d’enfant. Lui et son épouse se sont attachés à l’istighfâr (la demande de pardon à Dieu). Le mois même, sa femme est tombée enceinte. Et il est arrivé la même chose à un autre.
Il aussi le fait de dire tous les jours 100 fois:
لا إله إلا الله الملك الحق المبين
lâ ‘ilâha ‘illa l-Lâhou l-Malikou l-Ḥaqqou l-Moubîn
Et aussi 100 fois:
سبحان الله وبحمده
soubḥâna l-Lâhi wa bi ḥamdihi
De même multiplier les invocations en faveur du prophète est une grande cause de facilité en disant par exemple 100 fois:
اللهم صل على محمد وعلى آله وصحبه وسلم
Allāhoumma ṣalli `alā Mouḥammad wa `alā ‘ālihi wa ṣaḥbihi wa sallim
سُبحَانَ الله وَبِحمدِهِ هِيَ سَببٌ لِتَيسيرِ الرِّزقِ، الَّذِي يُكثِرُ من سُبحَانَ الله وَبِحمدِهِ اللهُ تَعَالَى يُيَسِرُ لَهُ بَابَ الرِّزقِ، مَنَافِعُهَا عَظِيمَةٌ.
soubḥāna lLāhi wa biḥamdih
C’est une cause pour faciliter la subsistance. Celui qui répète plusieurs fois soubḥāna lLāhi wa biḥamdih, Dieu lui facilite une porte pour la subsistance. Son bénéfice est grand. Cette phrase signifie: Dieu est exempt d’imperfection, à Lui la louange.
لتَيْسِير الرِّزْقِ مِائَة مَرّة (يا وَهَّاب) بعدَ صَلاة الضُّحَى.
Pour faciliter la subsistance, on dit: Yā Wahhāb, cent fois après la prière de aḍ-ḍouḥā.
لتَيْسِير الرِّزْقِ (سُورَة الواقِعَة) بعدَ صَلاة المغرب.
Pour faciliter la subsistance, on récite soūrat Al-Wāqi`ah après la prière de Al-Maghrib.
كتابة البسملة خَمسًا وثلاثين مرة لتيسير الرزق يوضع على باب الدكان لرواج البضاعة. (تُكتَبُ البَسمَلَة خمسًا وثَلاثِينَ مَرّةً وتُحمَلُ أو تُعَلَّقُ على بابِ البَيتِ أو الدُّكّان لتَيسِير الرّزْقِ فيهَا سِرٌّ عَظِيم).
L’écriture de la basmalah (la phrase بسم الله الرحمن الرحيم trente cinq fois est utile pour faciliter la subsistance. Elle est accrochée sur la porte de la boutique pour l’écoulement de la marchandise. (On l’écrit trente cinq fois puis on la porte ou on l’accroche sur la porte de la boutique pour faciliter la subsistance. Elle comporte un secret éminent).
وَرَدَ في الحَديث القُدسيّ: “يَا دُنيَا مَن خَدَمَنِي فَاخْدُمِيْهِ ومَن خَدَمَكِ فأَتْعِبِيْه”. ومعناه: اللهُ تعالى يُيَسّر الرّزقَ لمن اتّقَى الله واشْتَغَل بطَاعَتِه. ومَعنى “خَدمَني” في هذا الحديث: أطَاعَني.
Il est parvenu dans le Ḥadīth qoudsiyy: ô toi bas monde, celui qui M’obéit, alors sois à son service, et celui qui est à ton service alors épuise-le ? Cela veut dire que Dieu facilite la subsistance à celui qui fait preuve de piété envers Dieu, et qui s’occupe à lui obéir.
عن سَلّام بنِ شُرَحْبِيْلَ عن حَبَّةَ وسَوَاء ابنَي خَالدٍ رَضيَ اللهُ تَعالى عنهُما قَالا أَتَينَا رَسولَ الله صلى الله عليه وسلم فقال: “لا تَيْئَسَا مِنَ الرّزْقِ مَا تَهَزْهَزَت رُؤوسُكُما فإنّ الإنسَانَ تَلِدُه أُمُّهُ أَحمرَ لا قِشْرَ عَلَيهِ ثم يَرزُقُهُ اللهُ عَزَّ وَجَلّ”. هذا حَديثٌ صَحِيحٌ أخرَجَه أَحمَد.
D’après Salām fils de Chouraḥbīl, d’après Ḥabbah et Sawā’ tous deux fils de Khālid que Dieu l’agrée, ils ont dit: nous sommes partis chez le Messager de Dieu, que Dieu l’honore et l’élève davantage en degré, qui nous a dit ce qui signifie: ne désespérez pas de la subsistance tant que vous êtes encore en vie.
L’être humain, sa mère lui donne naissance alors qu’il est tout nu, sans enveloppe, puis Dieu lui accorde sa subsistance. Ḥadīth authentique rapporté par l’Imam Aḥmad.
اللهُ اللهُ ربّي لا أُشرِكُ بهِ شَيئًا، هذه تُقرأ لإزالة الهمّ ولِعِدَّةِ أشياءَ كتَيسِيرِ الرّزق، لأسرارٍ عَدِيدَةٍ للخَوفِ مِن ظَالم مَرّتَين تُقرأ، وإنْ زادَ فلا بأسَ ، أمّا لغَيرِ ذلكَ ما لَهُ عَددٌ عشَرة أو مائة أو أكثَر حتى لو قرأَها ولو لم يَنفُخ في وَجْهِ الظّالم.
Allāhou Allāhou Rabbī ; lā ‘ouchrikou bihī chay’ā
Cette phrase est récitée pour dissiper les tourments et plusieurs autres raisons comme la facilitation de la subsistance. On peut la réciter pour plusieurs secrets, comme la peur d’un injuste. Dans ce cas on la récite deux fois. Si la personne récite davantage, il n’y a pas de mal. Mais si c’est pour d’autres raisons, on peut la réciter sans restriction par un nombre: dix fois, cent fois, ou davantage. Elle signifie: Dieu, Dieu est mon Seigneur, je ne Lui attribue aucun associé.
ورَد حديثٌ صَحيح: “مَن لَزِمَ الاستِغفَارَ جَعَلَ اللهُ لهُ مِن كُلّ ضِيقٍ مَخرَجًا ومِن كُلّ هَمّ فَرَجًا ورَزقَه مِن حَيثُ لا يَحتَسِب” رواه أبو داود ، وابن ماجه ، والبيهقى عن ابن عباس ورواه أبو داود والطبراني)
Il est parvenu un Ḥadīth authentique: celui qui s’attache à al-istighfār (comme en disant Rabbi ghfir lī), Dieu lui accorde une issue de toute épreuve, une délivrance de tout tourment et Il lui accorde une subsistance d’une voie à partir de laquelle il ne s’attendait pas à en recevoir. Rapporté par Aboū Dāwoūd, Ibn Mājah, et Al-Bayhaqiyy d’après Ibn Abbās, tout comme Aboū Dāwoūd et Aṭ-Ṭabarāniyy.
لمن يَشكُو الضّيقَ مِن حيث المال أكثِر مِن الاستغفار، استَغفِر الله كلَّ يَوم ثَلاثمائة مَرّة.
Pour celui qui se plaint de difficultés financières, qu’il fasse beaucoup al-istighfār, (astaghfirou l-Lāh) trois cents fois par jour. Cette parole signifie: Ô mon Dieu, pardonne-moi mes péchés.
مَنْ قَرَأَ هَذَا الدُّعاءَ فِي اليَوْمِ عِشْرِيْنَ مَرَّةً لَم يَرَ قِلَّةً أَبَدًا، وَهُوَ مُجَرَّبٌ صَحِيْحٌ : “بِسْمِ اللهِ الرَّحمنِ الرَّحِيمِ، يَا عَظِيمَ الجَلَالِ، يَا بَدِيعَ الكَمَالِ، يَا كَثِيْرَ النَّوَالِ، يَا دَائِمَ الإِفْضَالِ، يَا حَسَنَ الفَعَالِ، يَا قَائِمُ بِلَا زَوَالٍ، وَصَلَّى اللهُ عَلَى سَيِّدِنَا مُحَمَّدٍ وَعَلَى ءَالِهِ وَصَحْبِهِ وَسَلَّم َ”
Celui qui récite cette invocation vingt fois par jour, ne sera jamais éprouvé par le manque. Elle a été expérimentée et est authentique:
Bismi l-Lāhi r-Raḥmāni r-Raḥīm ; yā `aḍḥīma l-Jalāl ; yā badī`a l-kamāl ; yā kathīra n-nawāl ; yā dā’ima l-‘ifḍāl; yā ḥasana l-fa`āl ; yā Qā’imou bilā zawāl ; wa ṣalla l-Lāhou `alā sayyidinā Mouḥammadin wa `alā ‘ālihi wa ṣaḥbihi wa sallam.
شَخصٍ لم يُرزَق أَولادًا مُنذُ عَشرِ سنِينَ : لِيُكثِرُوا مِنَ الاستِغفَار، ليَلزَم. شَخصٌ لَزِمَ الاستِغفَارَ فرُزِقَ.
Un couple qui n’a pas eu d’enfant depuis dix ans: qu’ils multiplient al-istighfār. Qu’ils le fassent régulièrement. Il y a quelqu’un qui s’est attaché à al-istighfār et il a eu des enfants.
وَرَدَ حَدِيثٌ بِإِسْنَادٍ ضَعِيفٌ: “الصُّبْحَةُ تَمْنَعُ الرِّزْقَ”، الصُّبْحَةُ فَمَعْنَاهُ النَّوْمُ بَعْدَ صَلَاةِ الصُّبْحِ (أي أوَّلَ النَّهَارِ)، لَكِنَّهُ إِنْ كَانَ الشَّخْصُ يَنَامُ بِلَا فَائِدَةٍ (هذَا الذِي نَقُولُ) لَا خَيْرَ فِيهِ (لأنَّهُ قَد يَكُونُ نَوْمُهُ لِمَرَضٍ).
Il est parvenu dans un Ḥadīth de faible fiabilité que le fait de dormir le matin après la prière de l’aube, c’est-à-dire en début de journée, prive de la subsistance. Néanmoins, c’est dans le cas où la personne se rendort inutilement. C’est ce que nous disons. C’est dans ce cas qu’il n’y a pas de bien en cela. Il se peut en effet que la personne se rendort en raison d’une maladie.
الحمد لله رب العالمين
La louange est à Allāh, le Créateur du monde.